Emberi Jogok - Rodríguez Bernal Ügyvédek

Le 3 juillet, le directeur de ce bureau, Antonio Pedro Rodríguez Bernal, a fait une conférence lors du IIe Congrès international sur les Droits de l’Homme et la Mondialisation, organisé par l’Université de Séville (1, 2 et 3 juillet 2020).

Conférence lors du IIe Congrès international sur les Droits de l'Homme et la Mondialisation - Antonio Pedro Rodríguez Bernal

Rodríguez Bernal a participé, en tant que panéliste, au tableau « Les nouveaux droits humaines face à la mondialisation », avec une présentation intitulée « Vers le droit humaine à la double nationalité pour des raisons ethnoculturelles ».

Le Congrès a réuni des chercheurs renommés et des professeurs d’université de différents continents. Depuis ce bureau, nous souhaitons féliciter l’organisation pour le développement de l’événement, en ces temps de pandémie, entièrement en ligne, et les remercier d’avoir compté sur nous pour cet énorme projet de recherche et d’échange d’idées.

  1. 14 juillet, 2020

    Cher Me. Rodriguez Bernal,
    c’est avec un grand plaisir que j’ai lu ces lignes à propos d’un « droit à la double nationalité ». Effectivement, félicitations, car c’est la première fois que je lis qu’on parle de « droit » à avoir plus que une nationalité, tandis que jusqu’à hier les détenteurs de plusieurs nationalités étaient regardés d’une manière suspicieuse, comme s’ils étaient des traîtres potentiels.
    J’ai fait plusieurs fois une comparaison frappante: est-ce que, si une personne est médecin, et si elle étudie droit, on l’oblige à renoncer à son titre de docteur en médecine pour devenir avocat? Je pense que tout le monde penserait que une prétention pareille serait ridicule.
    Autant ridicule est donc, aujourd’hui, la prétention que une personne qui adquière une nationalité doive renoncer à la (ou aux) autre(s) qu’il détient!
    Il est vraiment nécessaire de mettre en clair que une nationalité est une sorte de qualification – non pas une relation de soumission, comme elle était dans les monarchies absolutistes – et pourtant chaqu’un doit être libre d’avoir toutes les nationalités qu’il veut, de la même facon qu’on est libre d’avoir tous les titres universitaires qu’on veut.
    Gardez-nous au courant des dévéloppements.
    Bien cordialement
    Dr. Massimo Casalegno

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